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Conseils

Comment améliorer la qualité de l'air au bureau ?

Par Airchaud Diffusion
Mercredi 15 Janvier 2025
Comment améliorer la qualité de l'air au bureau ?

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Imaginez : une journée de travail productive, sans fatigue excessive, sans maux de tête persistants, avec une concentration optimale. Un environnement de travail sain est un facteur clé pour atteindre cet objectif. Pourtant, la qualité de l'air que nous respirons au bureau est souvent négligée. L'air intérieur, piégé entre les murs, peut accumuler divers polluants, affectant notre santé et notre bien-être. Cet article vous propose un guide pratique pour comprendre les enjeux de la qualité de l'air au bureau et mettre en place des actions simples et efficaces pour créer un environnement de travail plus sain et agréable.

Pourquoi la qualité de l'air au bureau est-elle cruciale pour vous ?

Cette section met en lumière les conséquences directes d'une mauvaise qualité de l'air sur votre santé, votre productivité et votre bien-être au quotidien.

Impact sur la santé : des effets immédiats aux risques à long terme

Respirer un air pollué au bureau n'est pas sans conséquence. Les effets peuvent se manifester rapidement par divers symptômes :

  • Maux de tête : Fréquents et parfois persistants, ils peuvent perturber votre concentration et rendre les tâches difficiles.
  • Fatigue : Une sensation de fatigue constante, même après une nuit de sommeil, peut être liée à une mauvaise oxygénation due à un air vicié.
  • Irritations des yeux, du nez et de la gorge : Picotements, sécheresse, sensations de brûlure ou d'écoulement nasal peuvent être des signes d'irritation causée par des polluants présents dans l'air.
  • Difficultés respiratoires : Gêne respiratoire, sensation d'oppression thoracique, toux ou essoufflement peuvent survenir, surtout chez les personnes sensibles ou souffrant déjà de problèmes respiratoires.
  • Allergies : L'exposition à des allergènes présents dans l'air intérieur, tels que les acariens, les moisissures ou les pollens, peut déclencher ou aggraver des réactions allergiques (rhinite, conjonctivite, etc.).

Ces symptômes, bien que souvent considérés comme mineurs, peuvent considérablement impacter votre qualité de vie au travail et, par conséquent, votre vie personnelle.

Au-delà des effets immédiats, une exposition prolongée à un air de mauvaise qualité peut avoir des conséquences plus graves sur la santé à long terme :

  • Développement de maladies respiratoires : Bronchite chronique, asthme, voire des pathologies plus sévères peuvent être favorisées par une exposition continue à des polluants atmosphériques.
  • Aggravation de l'asthme : Chez les personnes asthmatiques, la présence de polluants irritants ou allergènes dans l'air peut déclencher des crises d'asthme plus fréquentes et plus intenses.

Sources :

INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles)

Airparif (Association de surveillance de la qualité de l'air en Île-de-France)

Impact sur la productivité et le bien-être : un cercle vicieux

La qualité de l'air ne se limite pas à des considérations de santé physique. Elle influence également notre bien-être mental et notre capacité à travailler efficacement :

  • Baisse de la concentration et de la mémoire : Un air vicié, notamment avec une concentration élevée en CO2, peut altérer les fonctions cognitives, rendant la concentration difficile et affectant la mémorisation.
  • Diminution des performances au travail : La fatigue, les maux de tête et les difficultés de concentration mentionnés précédemment ont un impact direct sur la productivité et la qualité du travail fourni. Des études ont démontré que des environnements avec une meilleure qualité de l'air favorisent une augmentation de la productivité.
  • Impact sur le moral et la motivation : Un environnement de travail insalubre peut engendrer un sentiment de malaise général, une baisse de moral et une démotivation. À l'inverse, un environnement sain et agréable contribue à un état d'esprit positif et à une meilleure motivation.

Un environnement de travail sain, avec une bonne qualité de l'air, est donc un facteur essentiel pour le bien-être et l'efficacité des employés. Investir dans l'amélioration de la qualité de l'air, c'est investir dans la santé, la productivité et le bien-être de chacun.

D'où vient la pollution de l'air dans votre bureau ?

Cette partie explore en détail les différentes sources de pollution qui peuvent affecter la qualité de l'air dans les environnements de travail.

Polluants intérieurs : les sources cachées de la pollution

L'air intérieur des bureaux peut être pollué par une variété de substances, souvent invisibles à l'œil nu :

  • Composés Organiques Volatils (COV) : Ces substances chimiques, présentes dans de nombreux matériaux et produits du quotidien, s'évaporent à température ambiante et se retrouvent dans l'air que nous respirons. Les sources de COV dans les bureaux sont multiples :

    • Peintures et revêtements : Les peintures fraîchement appliquées, les vernis et les colles utilisés pour les revêtements de sol ou muraux peuvent émettre des COV pendant une période plus ou moins longue.
    • Mobilier : Les meubles neufs, en particulier ceux fabriqués à partir de bois aggloméré ou de matériaux composites, peuvent libérer du formaldéhyde, un COV particulièrement irritant.
    • Produits d'entretien : Les nettoyants ménagers, les désodorisants d'intérieur et certains produits d'entretien des bureaux contiennent souvent des solvants et d'autres COV.
    • Imprimantes et photocopieurs : Ces appareils peuvent émettre des COV, notamment lors de leur utilisation.
    • Colles et adhésifs : Utilisés pour les travaux de bureau ou les réparations, ils peuvent également être une source de COV.t leurs sources.
  • Particules fines : Ces particules microscopiques, issues de diverses sources, peuvent pénétrer profondément dans les voies respiratoires. Dans les bureaux, on les retrouve notamment :

    • Imprimantes et photocopieurs : L'utilisation de ces appareils, en particulier les imprimantes laser, peut générer des particules fines.
    • Poussière : L'accumulation de poussière sur les surfaces, les meubles et les équipements peut relarguer des particules fines dans l'air.
    • Activités humaines : Le simple fait de marcher, de bouger ou de manipuler des papiers peut générer des particules fines.
  • Dioxyde de carbone (CO2) : Gaz naturellement présent dans l'air, le CO2 est principalement produit par la respiration humaine. Une concentration élevée de CO2 dans un espace clos est un indicateur d'un manque de ventilation et de renouvellement de l'air.

    • Respiration humaine : L'accumulation de personnes dans un espace confiné, mal ventilé, entraîne une augmentation du taux de CO2.
    • Mauvaise ventilation : Un système de ventilation insuffisant ou mal entretenu ne permet pas d'évacuer efficacement le CO2 et de renouveler l'air.
  • Bio-polluants : Ces polluants biologiques comprennent :

    • Acariens : Présents dans la poussière, les moquettes, les tissus d'ameublement, ils peuvent provoquer des allergies.
    • Moisissures : Se développant dans les environnements humides, elles libèrent des spores allergènes et peuvent causer des problèmes respiratoires.
    • Bactéries et virus : Présents dans l'air, ils peuvent se propager facilement dans les espaces clos et mal ventilés, favorisant la transmission des infections.

Polluants extérieurs : l'influence de l'environnement extérieur

La pollution extérieure peut également affecter la qualité de l'air intérieur des bureaux :

  • Pollution atmosphérique : Les polluants présents dans l'air extérieur, tels que les particules fines, les oxydes d'azote et l'ozone, peuvent pénétrer à l'intérieur des bâtiments par les systèmes de ventilation ou les ouvertures.
  • Pollen : En période de pollinisation, le pollen peut pénétrer dans les bureaux et provoquer des allergies chez les personnes sensibles.

Il est important de noter que l'interaction entre les polluants intérieurs et extérieurs peut complexifier la situation et rendre l'identification des sources plus difficile. Une bonne ventilation et une aération régulière sont essentielles pour limiter l'accumulation de ces polluants et améliorer la qualité de l'air dans les bureaux.

Que dit la loi concernant la qualité de l'air au bureau ?

Cette partie résume les principales obligations légales des employeurs en matière de qualité de l'air intérieur, afin de garantir un environnement de travail sain et sûr pour les employés.

Obligations légales des employeurs (Code du travail)

Le Code du travail impose aux employeurs des obligations générales en matière de santé et de sécurité au travail, qui s'appliquent également à la qualité de l'air intérieur. Les articles R4211-1 et suivants du Code du travail, notamment, traitent des dispositions relatives à l'aération et à l'assainissement des locaux de travail.

En résumé, l'employeur doit :

  • Assurer le renouvellement de l'air : Les locaux de travail doivent être aérés de manière à maintenir un état de pureté de l'atmosphère propre à assurer la santé des travailleurs. Cela implique une ventilation générale et, si nécessaire, une ventilation locale pour les postes de travail exposés à des émissions spécifiques.
  • Prévenir les risques liés à la pollution de l'air : L'employeur doit évaluer les risques liés à la présence de polluants dans l'air et mettre en place des mesures de prévention pour les réduire au maximum. Cela peut inclure le choix de matériaux et de produits peu émissifs, l'entretien régulier des systèmes de ventilation, la surveillance de la qualité de l'air, etc.
  • Informer et former les travailleurs : Les employés doivent être informés des risques liés à la pollution de l'air et des mesures de prévention mises en place par l'employeur.

Source : https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006072050/LEGISCTA000018488858/#LEGISCTA000018532344

Valeurs Limites d'Exposition Professionnelle (VLEP)

Les VLEP sont des valeurs de référence qui définissent les concentrations maximales de certains polluants dans l'air que les travailleurs peuvent inhaler sans risque pour leur santé, sur une période donnée. Elles sont fixées par le ministère du Travail et sont régulièrement mises à jour en fonction des connaissances scientifiques.

Il existe deux types de VLEP :

  • VLEP-8h : Valeur limite d'exposition pour une exposition de 8 heures par jour.
  • VLEP-CT : Valeur limite d'exposition court terme, pour une exposition de courte durée (généralement 15 minutes).

Ces valeurs concernent un certain nombre de polluants présents dans les environnements de travail, tels que le formaldéhyde, le benzène, le toluène, etc. L'employeur doit s'assurer que les concentrations de ces polluants dans l'air ne dépassent pas les VLEP fixées. Vous trouverez les tableaux des VLEP sur le site de l'INRS.

Débits minimaux d'air neuf par occupant

Afin d'assurer un renouvellement d'air suffisant et d'évacuer les polluants, des débits minimaux d'air neuf par occupant sont définis en fonction du type de locaux. Ces débits sont exprimés en mètres cubes par heure et par personne (m³/h/personne).

Par exemple :

  • Bureaux et locaux administratifs : Le débit minimal d'air neuf est généralement de 25 m³/h/personne. Ce débit peut être augmenté en fonction de l'activité physique exercée, de la présence de sources de pollution spécifiques ou des conditions climatiques.

Il est important de noter que ces valeurs sont des minimums et qu'une ventilation plus performante peut être nécessaire dans certains cas.

Comment améliorer concrètement la qualité de l'air au bureau ?

Cette section propose des conseils pratiques et applicables pour améliorer la qualité de l'air dans votre environnement de travail.

Ventilation et aération : la clé d'un air sain

Une ventilation efficace est primordiale pour renouveler l'air intérieur, évacuer les polluants et apporter de l'air frais.

  • L'importance d'une ventilation mécanique performante : Les systèmes de ventilation mécanique contrôlée (VMC) ou de ventilation double flux assurent un renouvellement d'air constant et maîtrisé. Il est crucial de s'assurer que ces systèmes sont correctement dimensionnés, installés et entretenus (nettoyage et remplacement régulier des filtres). Une VMC performante permet notamment de limiter l'accumulation de CO2 et d'humidité.
  • Conseils pour aérer régulièrement les locaux (même en hiver) : Même en présence d'une VMC, il est important d'aérer régulièrement les locaux en ouvrant les fenêtres pendant quelques minutes, plusieurs fois par jour (idéalement toutes les 2 heures). Cela permet un renouvellement rapide de l'air et une évacuation des polluants. Même en hiver, une aération courte et intense est plus efficace qu'une aération continue et modérée, car elle limite les pertes de chaleur.

Entretien et nettoyage : des gestes simples mais efficaces

Un entretien régulier des locaux contribue à réduire les sources de pollution et à améliorer la qualité de l'air.

  • Utiliser des produits d'entretien écologiques et peu émissifs en COV : Privilégier les produits d'entretien portant des écolabels (Ecolabel européen, NF Environnement) qui garantissent une faible émission de COV et un impact environnemental réduit. Éviter les produits contenant des solvants, des parfums synthétiques et des agents irritants.
  • Nettoyer régulièrement les surfaces pour éliminer la poussière et les acariens : Un nettoyage régulier des surfaces (sols, meubles, bureaux) permet de réduire l'accumulation de poussière, d'acariens et d'autres allergènes. Utiliser un aspirateur équipé d'un filtre HEPA pour retenir les particules fines. Aérer les locaux pendant et après le nettoyage.

Choix des matériaux et du mobilier : privilégier la qualité

Le choix des matériaux de construction, de décoration et du mobilier a un impact direct sur la qualité de l'air intérieur.

  • Privilégier les matériaux à faibles émissions de COV (labels environnementaux) : Opter pour des matériaux de construction (peintures, revêtements de sol, isolants) et du mobilier portant des labels environnementaux (A+, Ange Bleu, Émissions dans l'air intérieur) qui garantissent de faibles émissions de COV. Privilégier les matériaux naturels et bruts (bois massif, pierre, liège) plutôt que les matériaux composites ou traités chimiquement.

Plantes dépolluantes : un atout, mais avec des limites

Certaines plantes ont la capacité d'absorber certains polluants présents dans l'air. Cependant, leur efficacité est limitée et il ne faut pas compter uniquement sur elles pour purifier l'air d'un bureau.

  • Présenter quelques exemples de plantes efficaces pour purifier l'air (Avec des précautions, leur efficacité est limitée) : Parmi les plantes souvent citées pour leurs propriétés dépolluantes, on retrouve :

    • Le chlorophytum (plante araignée) : Efficace contre le monoxyde de carbone et le formaldéhyde.
    • Le spathiphyllum (fleur de lune) : Absorbe le benzène, le formaldéhyde et le trichloréthylène.
    • Le pothos : Efficace contre le monoxyde de carbone, le formaldéhyde et le benzène.
    • Le lierre grimpant : Absorbe le benzène, le formaldéhyde et le trichloréthylène.

    Il est important de noter que l'efficacité des plantes dépolluantes est limitée et dépend de plusieurs facteurs (taille de la plante, volume de la pièce, concentration des polluants). Elles ne remplacent pas une bonne ventilation et les autres mesures de prévention.

Mesure de la qualité de l'air : un outil de suivi et de diagnostic

Détecteur de pollution

Détecteur de pollution

La mesure de la qualité de l'air permet de connaître les niveaux de pollution dans un espace donné et d'évaluer l'efficacité des mesures mises en place.

  • Expliquer l'intérêt d'utiliser des capteurs de qualité de l'air pour surveiller les niveaux de pollution : Les capteurs de qualité de l'air permettent de mesurer en temps réel les concentrations de différents polluants (CO2, COV, particules fines, etc.). Ces données permettent de :

    • Identifier les sources de pollution : En analysant les données, il est possible de déterminer les périodes et les zones les plus polluées et d'identifier les sources potentielles.
    • Suivre l'évolution de la qualité de l'air : Les mesures permettent de suivre l'évolution des niveaux de pollution au fil du temps et d'évaluer l'impact des mesures mises en place.
    • Alerter en cas de dépassement des seuils : Certains capteurs peuvent alerter en cas de dépassement des seuils de pollution recommandés, permettant de prendre des mesures correctives rapidement.

En combinant ces différentes actions, il est possible d'améliorer significativement la qualité de l'air au bureau et de créer un environnement de travail plus sain, plus confortable et plus propice à la productivité.

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